Deux travers tant des journalistes, écrivains que d’hommes ou de connus, m’irritent particulièrement.
Le plus simple est que lorsque l’on donne des informations chiffrées, les éléments nécessaires à la compréhension par « l’honnête homme » sont rarement réunis.
Trois exemples :
- Le déficit budgétaire est presque uniquement donné en pourcentage du budget et très rarement comparé au montant de celui-ci
- Le contraire se produit avec le récurrent « trou de la Sécu » toujours indiqué en valeur absolu, ce qui interdit de mesurer son pourcentage
- La production de pétrole est indiquée en « barils jour » et la consommation par pays en « millions de tonnes an ». Faut-il pour lire le journal se munir d’un logiciel ?
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